Celui qui fut nommé évêque de Tours ne cherchait d'abord qu'à répondre à sa vocation de moine : vivre la solitude et la contemplation de Dieu. Jeune officier romain, rendu célèbre pour avoir partagé son manteau avec un déshérité, cet homme de prière a implanté en Gaule le premier monastère du monde occidental.

Martin sait bien que seul Dieu conduit ses pas - en lui, prière assidue et charité débordante se fécondent. C'est ainsi que la vie de Martin (316-397) n'est qu'une marche dans l'Esprit Saint, arpentant les chemins à la rencontre des hommes et des femmes de son temps. Saisi de compassion pour les pauvres, sa prière fait des miracles tout au long de ses voyages.

Dans une époque tourmentée par les invasions, la misère des villes, l'insécurité dans les campagnes, et les hérésies qui divisent les chrétiens, pourquoi Martin laisse-t-il un tel souvenir indélébile, dépassant même les frontières d'Occident ? Laissons-nous encore interroger par cette figure illustre de l'Europe chrétienne !

Les auteursLe père Pierre Lambert, o.p. (prieur du couvent des dominicains de Tours), et le père François-Marie Humann, o.praem. (père abbé de l'abbaye Saint-Martin de Mondaye, de l'ordre de Prémontré), ont bien voulu commenter, pour le chrétien d'aujourd'hui, la puissance des charismes de saint Martin.

Dans les médias- « Le parcours de l'officier romain devenu moine, puis évêque, dans un temps troublé et un monde qui ressemble, par bien des aspects, au nôtre, est porteur de réponses aux interrogations de nos contemporains. » (L'Homme Nouveau)
- Lire la recension parue dans Église en Val-d'Oise
- « Un petit livre pour comprendre rapidement la vie de cet homme qui donne le nom à de nombreux village et de noms de famille. » (La Renaissance du Loir & Cher)

- Réécoutez la présentation de cet ouvrage dans l'émission « Le livre spi de la semaine », sur RCF Touraine :