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Le Magnificat et le Benedictus en hébreu ?

JEAN CARMIGNAC
On trouve dans la langue des évangiles des traces d'hébreu et d'araméen. La langue originale des évangiles ne serait-elle pas l'hébreu ?
EAN 9782851622518
Date de parution 11/11/2009
Format 180x260x10
Nombre de pages 148
Présentation Broché
Réf P2518
18,00 €
Manquant provisoire
Le Magnificat et le Benedictus, ainsi désignés universellement par le premier mot (l'incipit), du texte latin, sont deux cantiques, tel est le terme officiel, que l'on trouve dans l'Évangile de saint Luc.
L'abbé Carmignac a jugé que, sur le plan linguistique, ces deux textes étaient représentatifs de l'Évangile de Luc, voire des trois synoptiques, Matthieu, Marc et Luc. Le point de vue de l'abbé Carmignac se veut strictement scientifique, même s'il a une portée plus large. Il s'agit simplement d'un étude linguistique. Quelle est la langue des évangiles ? On trouve dans la langue des évangiles, tels qu'ils nous ont été transmis, c'est-à-dire le grec, beaucoup de sémitismes, c'est à dire des traces d'hébreu et d'araméen. Cela permet de postuler une hypothèse, raison pour laquelle il a placé un point d'interrogation dans le titre : la langue originale des évangiles ne serait-elle pas l'hébreu ? Et il en découlerait des conséquences pour le lieu de leur rédaction (Palestine), et pour le temps où ils sont apparus, celui où l'on parlait hébreu. On trouverait ainsi une nouvel argument pour une datation précoce, ne dépassant pas l'an 50, étude longuement développée par l'abbé Carmignac dans son ouvrage 'La naissances des Évangiles synoptiques'.
L'abbé Carmignac souhaitait que quelque lecteur prolonge son œuvre en étudiant d'autres textes, notamment le Nunc dimittis et le Pater.

Jean Carmignac (1914-1986), prêtre du diocèse de Paris, tout en étant vicaire dans une paroisse (« un prêtre se dessèche s'il se consacre exclusivement à ses études » disait-il) était un exégète reconnu sur le plan international. Il apprit l'hébreu au sortir du séminaire, occasion providentielle qui lui fût donnée, expliqua-t-il, par une maladie le claustrant deux ans dans un établissement de santé.
Il écrivit entre autres un ouvrage monumental, Recherches sur le Notre Père, qui constitua la thèse qu'il soutint à l'Institut Catholique de Paris en 1969 et pour laquelle il obtint la meilleure mention possible.
Il travailla également longtemps sur l'exactitude des traductions liturgiques.
L'ouvrage présenté ici était pratiquement prêt lors de sa mort.
L'Association des Amis de l'Abbé Jean Carmignac a voulu l'éditer à titre posthume.

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