Kfar Sama ou les enfants de l'Aurore

MANSOUR LABAKY
« Il était une fois Kfar Sama, un paisible village libanais (...) Et puis, un jour, la guerre est arrivée. » Le père Mansour Labaky a décidé de raconter ce qu'était la douceur de vivre, lorsque, chaque matin, l'aube se levait sur Kfar Sama en paix. Un défi à la violence, à la guerre, aux terrorismes.
EAN 9782740308981
Éditeur Tequi
Date de parution 01/02/2005
Format 210x135
Nombre de pages 144
Présentation Broche
Réf 6100
9,00 €
Disponible
« Il était une fois Kfar Sama, un paisible village libanais où le mot de guerre n'avait pas de définition... Et puis, un jour, la guerre est arrivée, et le village a su alors ce que le mot voulait dire » !

Témoin d'atrocités sur lesquelles il préfère ne pas s'attarder, le Père Mansour Labaky ne cherche pas à expliquer les raisons de la guerre.
Imprégné de sa foi, de la beauté et de la douceur de son pays, il raconte un village de la montagne semblable à tant d'autres villages libanais, semblable à tant d'autres villages de la terre, si éloignés de la politique et de ses remous, que la guerre leur reste à jamais incompréhensible et monstrueuse.
Édité en 1983, sous le titre de Kfar Sama, village du Liban, ce livre a été traduit en arabe, anglais, allemand, italien, espagnol et portugais. Primé par l'Académie Française, il a reçu de nombreux témoignages :

C'est un défi au terrorisme, au surarmement, aux luttes de classes et de races, à toutes les violences quelle que soit l'idéologie dont elles se réclament. Puisse-t-il être lu, entendu, médité longuement, comme doit l'être un poème.Régine Pernoud Ce n'est pas un livre, c'est un cri... Mais, ce qui m'a le plus frappé dans ce livre de douleurs, c'est que le Liban est une terre « d'espérance contre l'espérance », une promesse de résurrection. Ce qui dans ce poème domine la souffrance, ce qui éclate à chaque page de cet hymne à la joie, à travers la douleur, c'est l'allégresse, l'esprit d'enfance, la certitude de l'aurore.Jean Guitton, de l'Académie Française Si bien des textes aujourd'hui s'élèvent contre la guerre en disant ses horreurs et en se révoltant contre les souffrances qu'elle sème, peu d'auteurs savent dire la douce splendeur que peut revêtir la vie en temps de paix. Le Père Mansour Labaky est de ceux-là.Jacqueline de Romilly, de l'Académie FrançaiseUn chant, un poème ? Disons plus justement une prière fervente et droite, une de ces prières que le Seigneur a toujours exaucées.Charles Hélou,
Ancien Président de la République Libanaise - Premier Président de la FrancophoniePréface de Jean Piat
Avant-propos de Maurice Druon

L'auteurMansour Labaky est né au Liban. Il a été ordonné prêtre en 1966. Musicien, poète, écrivain, il a mis tous ses talents au service de la paix et a reçu de nombreux prix dont : le Prix de l'Académie des Sciences Morales et politiques en 1986, le Prix International des Droits de l'Homme du journal La Croix - L'Événement en 1987, le Prix de l'Académie Française pour l'ensemble de son œuvre en 1988. Il a reçu la décoration d'Officier de l'Ordre National du Cèdre en 1994.
Dès 1977, après le massacre de sa paroisse de Damour, il a pris en charge des orphelins de guerre, de toutes confessions, provenant des quatre coins du Liban. Convaincu que la haine n'entraîne que la haine, que seuls l'amour et la pardon peuvent enrayer les carnages de ce monde, le Père Labaky a fondé des foyers et fait découvrir à ces enfants, qui ont connu l'horreur, que la paix est une ré

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